Accepter la réalité du monde ?… de notre erreur ?
Je partage le message d’une connaissance que je trouve bien pertinent par rapport à la situation actuelle : Accepter la réalité du monde ? Comment reconnaître qu’on est dans l’erreur ? YM
Bonsoir, pour ceux qui ont dû mal à accepter la réalité du monde, je vous laisse lire mon mailing ci-dessous écrit en 2014 sur les étapes du deuil du docteur Elisabeth Kübler-Ross. (1926 – 2004).
C’est très constructif et vous aidera à franchir le pas par rapport à la situation actuelle et vous élever au-delà des faits. Rien n’a changé depuis 2014 !
Je continue à aider bon nombre d’entre vous, ce soir une personne qui voulait rentrer dans un hôpital sans test et qui devait dépenser 20 euros à chaque visite de son parent.
J’ai réadapté mon ancien courrier type au décret du 12 mars 2022 et lui ai envoyé. N’hésitez pas à me contacter !
Bonne lecture et bonne semaine !
Tanguy
De : Tanguy Couvrat Desvergnes [mailto:email@train-rail.com]
Envoyé : vendredi 4 juillet 2014 22:28
À : ’email@train-rail.com’
Objet : [Mailing groupé] [Psychologie] Psychosociologie des masses.
Bonjour.
J’ai eu plusieurs réactions aux mailings d’information envoyés.
Notez que ces mailings sont majoritairement réalisés à partir de sources officielles, j’invite toute personne à me contredire sur la véracité de ces dernières en opérant de la même façon (en recherchant et en recoupant les informations à travers les médias de la planète).
Leur contenu met la plupart des lecteurs face à des faits difficiles à accepter… auxquels ils n’ont jamais eu accès après des années d’absence d’informations ou en baignant dans un idéal illusoire qui n’a pu être maintenu que grâce à un apport technologique et de confort jamais vus jusqu’alors dans l’Histoire de l’humanité.
Le contenu de ces mailings, c’est ce qu’on appelle des informations tétanisantes (qui tétanisent, qui crispent devant la dure réalité du monde). Ce terme a été employé lors d’une conférence de Vincent Brousseau, économiste ayant travaillé au sein de la BCE pour étudier les scénarios de sortie de la zone euro en cas de crise grave.
Il faut passer outre ces informations tétanisantes pour ensuite reconstruire le monde futur (laissant l’ancien s’échouer). On sait que le monde va mal, nous devons franchir le pas et avancer…
« Une personne honnête qui se rend compte qu’elle est dans l’erreur, soit elle cesse de faire cette erreur, soit elle cesse d’être honnête »
- La théorie du cycle de réponse au deuil de Kubler-Ross
- Cette théorie est transposable à bien des situations dans d’autres domaines, voir par exemple sur l’un des sites internet officiel du gouvernement.
- Source officielle : Site internet officiel du gouvernement du CEDIP. Cliquez sur l’image : (lien n’est plus disponible)
- J’ai essayé de réadapter cette théorie en reprenant différents textes pour les adapter à notre degré d’acceptation et de résilience concernant le monde d’aujourd’hui.
Vous vous situez probablement dans l’une de ces phases.
Aujourd’hui, pratiquement toute la population mondiale ayant accès à l’information sait que quelque chose va mal, que l’humanité toute entièrement asservie aux banques va vivre quelque chose de difficile dans les années à venir, pour la plupart, le choc et la sidération ont été déjà été vécus.
Seulement, il faut savoir que 90 à 99% de la population vit dans le déni ou le refus de la réalité, repoussant toujours plus loin l’acceptation de la réalité du monde jusqu’au retour à la réalité (exemple, voir ses économies disparaître suite à une faillite bancaire, voir un début de guerre civile ou la mise en place de camps d’extermination alors que professeurs d’Histoire ou médias avaient toujours dit « plus jamais ça »)… Notre monde de paix peut à tout moment vaciller. En 1939, alors que les français étaient aux terrasses des cafés alors que la ligne Maginot était réputée infranchissable, en quelques heures, la réalité les a rattrapés et tout ceci a fini en exode…
- Pour être totalement libre et pouvoir ensuite un jour reconstruire le monde de demain (après avoir survécu à la crise actuelle), vous devrez vous affranchir de toutes ces étapes…
- Bloqué dans le Déni.
- Au delà de notre vitesse de progression dans ce processus, si l’on applique ce schéma de phases aux grands mensonges des médias et des politiques et à la manière dont les peuples les assimilent et les traitent, on s’aperçoit qu’il y a deux grandes catégories de personnes :
- La catégorie de ceux qui ont passé la phase du déni et du refus, et qui évoluent dans les phases suivantes (1 à 10 % de la population).
- La catégorie de ceux qui restent bloqués dans la phase du déni et qui n’arrivent pas à évoluer plus loin, ou plutôt qui refusent de passer aux phases suivantes (90 à 99 % de la population). Et c’est là qu’est le problème. Pourquoi plus de 90 % de la population est dans le déni et refuse de voir et de croire la réalité des choses, si dure soit-elle (la situation économique mondiale et l’état de notre civilisation) malgré les nombreuses et incontestables preuves ?
- Certains restent bloqués à l’étape 3, la colère, la révolte, ceux qui gueulent, qui manifestent, qui font partie de partis politiques d’extrême gauche, se disent marxistes, pour la révolution, mais est-ce bien constructif ? Si tout le système économique s’effondre sans que la majorité des populations aient atteint l’étape 7 (la résilience et l’autonomie pour ensuite reconstruire un nouveau système), cela finira en guerre civile, est-ce bien intelligent ?
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Vie en Groupe et Peurs Associées
- Pourquoi donc la majeure partie de la population reste bloquée dans la phase 2 ; le déni, le refus ? Il leur arrive parfois d’évoluer vers les phases 3 et 4 mais, il reviennent systématiquement et stagnent dans le refus ; le refus de croire ce qu’ils voient malgré les nombreuses et incontestables preuves.
- Pour comprendre ceci il faut introduire les notions de vie en groupe, de vie en société, de relation entre les individus et parler des trois peurs fondamentales de l’homme dans un groupe.Il est admit qu’au delà de la volonté de se reproduire et de la peur de la mort, le comportement d’un individu au sein d’un groupe d’individus est principalement déterminé par trois grandes peurs :
– La peur d’être humilié.
– La peur d’être rejeté.
– La peur d’être ignoré.
Observez les gens autour de vous ; observez les gens au sein des groupes ; observez la manière dont les gens agissent et attardez-vous sur les comportements qui vous semblent anormaux, étranges, hypocrites, méchants, bizarres, illogiques, etc.
Posez-vous ensuite la question suivante : Pourquoi, dans ce groupe, cette personne, a agit ainsi, alors qu’en toute logique, en étant sincère, gentille, et pour le bien être commun, elle aurait dû agir autrement ?
Si vous cherchez la cause fondamentale vous verrez que dans la quasi totalité des cas le comportement a été motivé par l’une des trois peurs fondamentales de l’Homme dans un groupe. Être humilié, être rejeté et être ignoré.
Pourquoi cet adolescent s’est mis à fumer alors qu’il n’aime pas ça ?
Parce que la majorité des adolescents de son groupe le font et qu’il avait peur d’être rejeté ou humilié par les autres. Pourquoi cet homosexuel ne dit pas à son entourage qu’il n’aime pas les femmes ? Parce que la majorité de son entourage est hétérosexuelle et qu’il a peur d’être rejeté. Les exemples sont infinis.
- Revenons maintenant à notre deuxième catégorie de personnes ; ceux qui restent bloqués dans le déni.
Considérons-les comme faisant partie d’un ou plusieurs groupes.
Vous, par exemple, faites partie du groupe des Français, du groupe de ceux qui travaillent dans l’entreprise X, de ceux qui vivent dans ville Y, etc.
Considérons maintenant le fait qu’ils restent bloqués dans la phase 2 comme un comportement illogique et hypocrite, allant à l’encontre du bien être commun. Essayons maintenant de comprendre la raison du déni. Pour lutter contre ces peurs et se mettre à l’abris du danger potentiel d’être humiliés, rejetés ou ignorés, les individus d’un groupe ont généralement tendance a vouloir ressembler à la masse et à vouloir se comporter comme elle.
En ressemblant le plus possible aux autres individus du groupe on limite les différences et donc les risques potentiels d’être humilié, rejeté ou ignoré. Pour reprendre le cas de l’ado qui fume ; il faut comprendre qu’il fume uniquement pour ressembler aux autres ; faire comme eux et donc garantir son intégrité au sein du groupe. C’est là qu’on se rend compte que mis à part quelques loups solitaires, l’homme est indéniablement fait pour vivre en groupe. Sinon nous ne ferions pas tous ces efforts pour nous intégrer et ressembler aux autres.
Concernant les faits d’actualité, les gens bloqués dans le déni sont persuadés que la majorité du groupe croit en la version des médias officiels. Il en sont persuadés pour la seule raison que ces mêmes médias s’efforcent à ridiculiser toute brebis égarée, à les faire passer pour des cas isolés et à faire croire à chaque individu du groupe que tous les autres croient en leurs versions des faits.
Et tout naturellement, chaque individu du groupe, par peur d’être rejeté, humilié ou ignoré, se met à croire ce en quoi il pense que tous les autres croient. Et la volonté de rester intégré au groupe et les peurs d’être rejeté, humilié ou ignoré sont telles, qu’elles le hantent et le mènent à s’auto-persuader qu’il est comme les autres.
Tout comme l’ado trouve le goût de la cigarette bon alors que ça ne l’est pas, l’Homme trouve la version des médias officiels logique et juste alors que de toute évidence elle ne l’est pas.
On observe ce même mécanisme d’auto-persuasion chez ces Hommes qui, à force d’être accusés, finissent par croire en leur culpabilité et à avouer des crimes qu’ils n’ont pas commis sans même que les détecteurs de mensonges ne décèlent la moindre anomalie.
Pour résumer, si la majorité des peuples refuse de voir la vérité c’est uniquement par peur d’être différent, par peur de se retrouver dans la minorité et par peur d’être rejetée, humiliée ou ignorée.
2. Confiance en Soi
Dans ce cas là, me direz-vous, pourquoi certaines personnes (comme la plupart d’entre nous) osent penser et croire différemment ? Ceux-ci n’ont ils pas peur d’être rejetés, humiliés, ignorés ?
Là encore il y a deux catégories de personnes :
- La première est celles des loups solitaires et des panthères qui n’en ont absolument rien à faire de la vie de groupe et qui, non influencés par les trois peurs précédemment évoquées, n’ont absolument aucun obstacle à assumer leurs choix. Mais ces gens sont très rares. En toute une vie on compte ceux qu’on rencontre sur les doigts d’une main.
- La deuxième catégorie est celle de ceux qui ont confiance en eux, et c’est sûrement là que vous-vous trouvez. La confiance en soit est la clé. Car si vous avez bien suivi mon raisonnement vous avez compris qu’en réalité tout le monde est prêt à croire et à accepter la vérité.
Le problème est juste que personne n’ose. Si un jour nos convictions décidaient de faire une trêve avec nos peurs et si chacun donnait son point de vue, on s’apercevrait qu’en réalité la majeure partie des peuples ne croit pas en tous ces grands mensonges et que nous sommes prêts à nous unir contre cette minorité qui nous manipule. Si vous êtes dans la deuxième catégorie c’est que vous avez compris cela et que vous savez que nous sommes nombreux à penser ainsi.
3. Conclusion
Maintenant que vous savez pourquoi des gens sont bloqués dans le déni et ce qui les empêche d’avancer, aidez-les à s’en sortir ; aidez-les à ouvrir les yeux.
Comment ?
Montrez-leur qu’ils ne sont pas seuls. Aidez-les à retrouver confiance en eux.
La prochaine fois que vous serez en groupe, assumez vos convictions et osez parler.
Vous verrez qu’en affirmant haut et fort que vous ne croyez en tel ou tel mensonge, d’autres retrouverons confiance en eux, s’apercevront qu’ils ne sont pas seuls et sortiront du silence. Souvenez-vous comment vous êtes sorti de l’enclos des moutons et montrez la voix aux autres. Tendez à votre tour la main que l’on vous a tendu dans le passé.
Vous devriez vous retrouver dans chacune des phases énumérées ci-dessous.
Beaucoup de très bons amis ont disparu de ma vie… Préférant me laisser seul pour rester avec « la masse », par lâcheté, confort, par peur d’être marginalisés…
J’ai su m’entourer de personnes fiables, intelligentes (l’intelligence, ce n’est pas que les diplômes, mais la capacité à comprendre, la résilience, etc.). Beaucoup en font partie dans cette mailing (ils se reconnaîtront).
Pour tous les grands mensonges “géopoliticomédiatiques” c’est la même chose. Les vérités foisonnent sur les sites d’information alternatifs. Les preuves que les médias mainstream et les politiques nous mentent sont légions. Les incohérences sont telles que même un enfant pourrait les déceler.
Mais la grande majorité des peuples refuse de voir la vérité et continue de croire les absurdités que nous vomissent chaque jour les JT et les “grands” journaux papier.
Pourquoi ?
Voilà 6 ans que je confronte amis, collègues à des faits et que malheureusement, tout ce que j’ai pu diffuser devient progressivement la réalité.
Je n’appartiens à aucun mouvement politique, ni secte, ni syndicat, j’ai ma totale liberté de penser ce qui n’est pas le cas de la plupart de mon entourage, vous devez penser par vous-même pour avancer et enfin comprendre le monde et être réellement libres !
Voici donc un petit récapitulatif des phases à traverser…
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Phase 1 : Le choc, la sidération.
C’est pas possible, les banques sont en faillite ? C’est écrit dans des médias officiels, pourtant non médiatisé à la télévision. En plus, personne réagit dans mon entourage, Tanguy exagère.
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Phase 2 : Le déni, le refus.
Non, en fait tout ce que j’ai lu est faux, beaucoup de monde dit que Tanguy est fou. Je refuse d’y croire. Tout va bien, ça va bien se passer.
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Phase 3 : La colère, la révolte.
Ma mère avec 1200 euros de pension par mois se retrouve imposée depuis la rentrée et mon cousin s’est fait saisir sa maison ne pouvant honorer ses dettes. Tanguy avait raison. Il se passe des choses graves en ce moment, je n’ai jamais vu autant de SDF et de commerces en faillite au centre ville.
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Phase 4 : La tristesse, l’abattement, la dépression.
C’est pas possible. Quoi qu’on vote, rien ne change. Même si je fais mes courses au marché, ça marchera jamais, ils ont trop de pouvoirs. Si j’agis seul, rien ne changera. C’est foutu… J’en ai marre…
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Phase 5 : La résignation, l’abandon, le renoncement.
Bon, ça ne sert à rien de se battre, je retourne dans le monde réel, je continue à bouffer à Mac Do et des sandwichs grecs, picoler tous les week-ends avec mes potes. Je continue à claquer ma paye en futilités, en I-phone, je vais faire un crédit auto pour acheter la jolie Fiat 500 et je continue de payer mon crédit immobilier sur 25 ans pour mon F2 de centre ville (même si je sais que je ne rembourserai jamais).
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Phase 6 : L’acceptation fataliste.
C’est vrai en fait, tous ces poulets élevés industriellement, le retour du poulet chloré et des OGM avec le marché Transatlantique, l’hydroxyde d’aluminium dans les vaccins, les faillites bancaires et la saisie de l’épargne des gens, tout ça c’est vrai. C’est ainsi. Je ne peux pas me voiler la face plus longtemps et continuer à faire l’autruche, j’ai des enfants.
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Phase 7 : La résilience, la reconstruction.
Bon, c’est dit, dès demain, je vais faire mes courses au marché et acheter des légumes de saison. Les parents de ma copine ont une maison en Lozère, il y a moyen de la retaper pour s’y installer en cas d’effondrement économique grave. Au lieu de partir en vacances à l’autre bout du monde en polluant en avion, je vais consacrer mes congés pour refaire la toiture avec des amis, ça ne coûtera pas cher et ça sera utile pour ma famille et mes proches. Je vais mener des plans précis pour qu’on s’en sorte et aviser mes proches et personnes de valeur dans mon entourage, c’est dit ! Le monde de demain a besoin de personnes de valeur pour transmettre notre retour d’expérience aux générations futures pour que ce vol de la démocratie ne se reproduise plus jamais…
Ces étapes sont celles de la mise en place de l’apprentissage qui préside au changement individuel.
Cette « résistance au changement » « n’est ni plus ni moins rationnelle, ni plus ni moins légitime que l’action qui la provoque » (Friedberg).
Ainsi, c’est autant le type ou le niveau de changement concerné que la gestion de ce changement par les responsables qui en ont la charge, qui détermineront la durée de ce cycle incompressible et son amplitude.
Alors, maintenant que vous prenez en partie ce mécanisme, agissez ! Avancez ! Il n’est jamais trop tard pour changer les choses…
Où comment l’influence majoritaire d’un groupe fait changer d’avis un individu qui va persister dans l’erreur collective ou lieu de s’affirmer et de donner la bonne réponse qu’il sait juste.
- C’est très impressionnant… Depuis tout petit, j’ai toujours été différent en m’affirmant (bien que souvent intégré à des groupes à l’école, au collège ou au lycée)… Il faut savoir dire non, savoir s’affirmer. Regardez cette expérience (inoffensive mais passionnante), cliquez sur l’image :
Je comprends mieux comment fonctionne le monde maintenant. Nos comportements humains, décryptés par ces mondialistes, couplés à des techniques d’ingénierie sociale très puissantes mènent notre civilisation vers les abysses… Rien n’est irrémédiable, il faut en prendre conscience et nous transformer…
Voici quelques ouvrages à lire pour comprendre Asch et aussi le grand Stanley Milgram, le fameux psycho-sociologue de l’Université de Yale (ayant écrit l’ouvrage Soumission à l’autorité), cliquez sur les images :
L’héritage de Solomon Asch: Essais sur la cognition et la psychologie sociale
Stanley Milgram à la rencontre de Solomon Asch, Influence sociale d’une source d’autorité dans une tâche perceptive
Bonne soirée, Tanguy
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